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Après la suspension d’Aurélien Mintsa Mi-Nguema, frère cadet de la Prééminence Transitionnelle, Président de la République, Chef de l’Etat, le Général Oligui Nguema, de son poste de DGBFIP, le Conseil des ministres tenu hier, jeudi 20 juin 2024 a entériné son départ definitif de cette direction générale stratégique, objet de toutes les convoitises.
Personne n’étant indispensable dans la gestion de la cité et dans la vie, la DGBFIP échoit désormais à un autre vaillant gabonais, sieur Nzamba Mangala. Ce dernier est appelé à ne pas décevoir la confiance placée en lui par les plus hautes autorités du Pays.
Comme nous avions annoncé dans nos précédents éditoriaux, le réalisme politico- managérial aurait été de balkaniser la DGBFIP.
Tel est désormais le cas au regard du Communiqué final du Conseil des ministres. Une fois de plus, nos analyses se sont donc avérées apodictiques.
Toujours est-il que dans sa détermination à contrôler cette direction générale hautement stratégique, toute la sémiotique montre clairement que l’endocolonat françafrain a fait feu de tout bois d’évincer le jeune DGBFIP, ce dans l’optique de fragiliser le Général Président Oligui Nguema.
D’ailleurs, tout le monde a suivi sur la toile la dimension clivante et le violent Fang bashing d’Okoumba Kamitatou, Lénine d’andjogo, un activiste pro endocolonat françafricain, suite aux déboires managériaux du jeune frère du Général Président côté paternel.
Question : depuis quand la responsabilité individuelle serait-elle désormais une responsabilité générale ?
Pour Okoumba Kamitatou Lénine d’andjogo, un Fang qui aurait péché équivaut à l’échec de tous les Fang !
Dans tous les cas, au-delà des élucubrations d’okoumba Kamitatou Lénine d’andjogo, une chose est sûre : les Fang et le reste des Gabonais ne vont jamais abandonner le Général Oligui Nguema et ses frères d’armes dans leur noble combat patriotique et nationaliste.
Bravo au Général Président Oligui Nguema d’avoir échappé au piège qui lui a été tendu par l’endocolonat françafricain à la DGBFIP. En effet, sa main n’a pas tremblé.
Désormais au courant de ses ennemis politiques, de ceux qui font feu de tout bois pour l’empêcher de diriger le Gabon, ce sous le fallacieux prétexte que les militaires doivent retourner dans les casernes, alors que de Gaulle, père de la V ème République française
actuelle fut un militaire, Idem pour Napoléon, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, de la Guinée -Equatoriale ; Sassou N’guesso du Congo, Mahamat Idriss Deby Itno du Tchad, Paul kagame du Rwanda, le Général Président Oligui Nguema doit désormais sévir, il est temps pour lui de faire un grand ménage au sein de son gouvernement, car le coup d’État scientifique contre le CTRI est en marche. Il ne fait plus l’ombre d’aucun doute.
Les militaires au pouvoir à Libreville n’ont pas pris autant de risques pour dégommer un puissant régime au pouvoir depuis plus de 50 ans, pour laisser ceux qu’ils ont évincés du pouvoir revenir aux affaires avec une facilité déconcertante torturer plus qu’avant les Gabonais.
Au regard de la rude bataille menée par l’endocolonat françafricain en vue du contrôle de la DGBFIP, le solide Fils de Nguema devrait désormais canaliser ses parents du septentrion visiblement ivres du pouvoir, ce au risque de donner des munitions politiques à ceux qui veulent l’empêcher d’être le prochain Président du Gabon issu des urnes .
Et pourtant qu’on le veuille ou non, celui qui s’est battu pour quelque chose, c’est pour lui la chose. Les militaires ne se sont pas battus pour arracher le Gabon des mains de la Young Team, et autres usurpateurs qui ecumaient le Palais du bord de mer pour in fine, remettre le Gabon à l’endocolonat françafricain famille de la Young Team déchue.
Quant au septentrion, au sujet de la plateforme associative OSSIMANE bourrée d’ajeviens, des gars de la Young Team déchue ; des pdgistes et autres kounabelistes en quête des prébendes, son avenir semble désormais en pointillé, suite à l’éviction de son principal leader.
Désormais, que les futures associations en gestation dans le Woleu-ntem fassent un vrai casting aux antipodes de qui s’est passé avec OSSIMANE, une association experte dans le recyclage des prédateurs d’hier de l’économie gabonaise et bourreaux du Peuple Gabonais au risque de ne pas faire long feu.
Par David Zang MENGUE
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