Est-ce juste pour signifier à la communauté internationale que le Gabon est pleinement impliqué dans la lutte contre les prédateurs sexuels et les violences faites aux mineurs que le 23 octobre dernier le procureur de la République, Olivier Nzahou, a annoncé l’émission d’un mandat d’arrêt international à l’encontre d’Alexis Ndouna ? C’est en tout cas ce que pense une frange de la population dont la colère ne désenfle pas.
Alexis Ndouna, homme d’affaires et cadre du Parti Démocratique Gabonais ( PDG ) a été inculpé pour » proxénétisme, viol sur mineurs de moins de 18 ans et mise en danger de la vie ou la santé d’autrui « . Il serait toujours en fuite du pays, grâce notamment à des complicités, affirment certains compatriotes.
Selon Marcel Libama, acteur de la société civile, » plusieurs mains invisibles travaillent pour protéger Alexis Ndouna qui détient des relations dans les sphères politique, économique et même judiciaire « . Joli florilège.
Pierre Parfait Mbadinga
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