La question mérite son pesant d’or au regard des articles véhiculés par certains médias en ligne. Bourreau de travail, ce jeune Directeur Général est animé par l’ambition de toujours faire mieux. Sa nomination au poste de Directeur Général de la SETRAG est déjà le couronnement d’une vie passée à comprendre les rouages de la nouvelle économie, notamment de la SETRAG. Pourtant, le travail de Christian MAGNI, exposé il y a à peine quelques mois, semble déjà faire face à des forces obscures.
Christian MAGNI a pour mission de poursuivre l’œuvre de son prédécesseur au sein de cette entreprise ferroviaire. À savoir, continuer « la transformation et le développement de la Setrag qui doivent lui permettre de se positionner comme une référence dans le transport ferroviaire en Afrique, notamment en termes de sécurité et de qualité de service », a précisé le Conseil d’administration dans un communiqué de presse.
Mais dans sa parution numéro 486 du mercredi 16 décembre 2020 l’hebdomadaire La loupe dans ses colonnes, fait un procès d’intention, faisant croire que certains cadres de l’entreprise seraient sur la sellette. Non sans omettre de faire des rapprochements sectaires, entre des personnalités. Une publication et des rapprochements tout simplement scandaleux.
Et pour cause, le climat qui prévaut au sein de la Setrag depuis le 20 octobre dernier, date de la nomination de l’actuel directeur général est totalement différent de celui décrit par notre confrère qui a utilisé le mieux diviser et le mieux opposer les compatriotes en dressant une liste des supposées victimes. Cela est un manque de scrupule dont l’objectif visé est de faire croire aux lecteurs, mais aussi le directeur général et les administrateurs que se seraient ces derniers qui auraient saisi la presse pour nuire à la bonne marche de l’entreprise.
Quant à la vindicte contre le directeur général actuel, elle s’appuie sur des faits sectaires et des rapprochements grotesques entre personnalités est faite. Parce que Awandji de Moanda comme un certain Batolo, lui aussi issu du même groupe ethnique, Magni ne devrait pas être nommé directeur général. Un raisonnement invraisemblable, puisque le Gabon garanti au plus méritant la place que lui revient. D’où sortent donc ces niaiseries de forces de l’inertie qui condamnent un top manager sans l’avoir évalué? Que se cache-t-il derrière la cabale médiatique, cause d’harcèlement des services spéciaux contre un compatriote et pourtant disposant d’un background apprécié par les administrateurs et l’actionnaire unique Eramet?
Ces dernières années les autorités gabonaise s’attellent à ce qu’au sein des grandes entreprises du pays, les compétences gabonaises soient mises en valeurs. La nomination de Christian Magni, loin d’être le contraire, elle devrait pousser les gabonais à le soutenir au lieu de le perturber. Et rédiger des articles dénonciateurs et calomnieux plutôt que de révéler les défis qu’il a relevé durant le mandat qui lui a été confié.
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