CLASH HISTORIQUE : Eboloko met L’oiseau Rare K.O avec un diss track qui affole la toile !

La scène Ntcham gabonaise vient de connaître l’une de ses plus violentes confrontations. L’oiseau Rare a déclenché une guerre ouverte contre Eboloko, mais ce dernier vient de riposter avec une réponse qui fait trembler la toile.

Tout a explosé lors d’un live sur les réseaux sociaux. Sans filtre ni retenue, L’oiseau Rare s’est lancé dans une diatribe assassine contre son ancien ami Eboloko. Le verdict est tombé comme un couperet : « boa », cette expression gabonaise cinglante qui désigne quelqu’un d’incompétent dans son domaine.

Le grief ? La baisse de régime d’Eboloko depuis son tube « Santanana » qui avait pourtant affolé les compteurs avec 35 millions de vues sur YouTube. L’oiseau Rare, dans un élan d’arrogance débordante, a lancé un ultimatum implacable : « Je te donne une chance de faire encore 35 millions de vues. Si tu ne le fais pas, tu seras classifié dans le rang des boas. » Mais l’artiste n’en est pas resté là, franchissant la ligne rouge en parlant de la compagne d’Eboloko pendant ce live.

La réponse ne s’est pas fait attendre. Et quelle réponse ! Eboloko a choisi l’arme qu’il maîtrise le mieux : la musique. Son diss track « Danger » vient de débarquer comme une bombe, cumulant déjà près de 50 000 vues en seulement quarante-huit heures. Dans ce morceau incisif, le rappeur n’épargne pas son adversaire : « Un oiseau a volé, j’ai l’impression qu’il a brûlé. Il est venu avec les dents cassées, c’est le public qui l’a habillé. »

Ces paroles font mouche. Eboloko exhume le passé difficile de son rival, celui d’un artiste qui a galéré avant de percer. Le message est clair : l’arrogance d’aujourd’hui ne doit pas faire oublier les galères d’hier.

Mais le coup de maître d’Eboloko réside dans sa conclusion. Lors d’une intervention mesurée sur les réseaux, il a posé ses conditions avec une maturité désarmante : « Ce diss track est ma dernière parole sur L’oiseau Rare. S’il veut me répondre, qu’il le fasse musicalement. Sinon, je ne lui répondrai plus jamais. »

En choisissant la voie artistique plutôt que l’invective, Eboloko vient peut-être de remporter la première manche de ce clash qui passionne déjà tout le Gabon.

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