Encore ébranlé par son limogeage humiliant et sans appel du gouvernement , les rêves politique de l’ancien ministre de la Fonction Publique, Ali Akbar Onanga Y’obegue, s’écroulent brutalement. Ce dernier s’est lancé dans des actes répréhensibles dès sa mise en retrait des affaires, lesquels actes lui ont récemment valu son éviction des rangs du Parti Démocratique Gabonais (PDG) pour «atteinte à l’unité du parti et actes contraires à la probité ».
Désormais ex-député de la Léconi-Lékori suite à sa mise en retrait du Parti Démocratique Gabonais (PDG) le jeudi 01 août courant, le moins qu’on puisse dire c’est qu’Ali Akbar Onanga Y’obegue a largement mérité la foudre qui s’est abattue sur lui. En effet, depuis peu, le natif du haut-ogooué s’est mis dans une posture de rébellion vis-à-vis de ses supérieurs hiérarchiques tant dans son parti que face aux autorités gouvernementales.
Se sont ses commentaires inacceptables publiés sur Facebook et déterrés par différents réseaux sociaux qui ont provoqué son retrait du PDG juste après son éviction du ministère de la fonction publique, qu’il a quitté en laissant des traces sombres. L’ancien ministre de la Fonction Publique est reproché notamment d’abus de fonction avec la création de postes budgétaires fictifs dont il serait le cerveau et l’unique bénéficiaire.
Alors qu’il se croyait intouchable pour avoir été l’un des proches du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, le ciel bleu azur d’Ali Akbar Onanga Y’obegue a brusquement viré à l’orage car rapidement rattrapé par la réalité actuelle : la nouvelle forme de gouvernance prônée par Ali Bongo Ondimba, laquelle n’admet plus aucune erreur de la part de ceux qui sont censés montrer le bon exemple aux citoyens. Disons que l’ex-ministre de la fonction publique se voit rattraper par ses propres mauvaises actions, lui qui brille actuellement par des sorties maladroites sur sa page Facebook.
Sa récente exclusion des rangs du PDG n’a été que justice, puisqu’elle désamorce une bombe qui pouvait à tout moment exploser dans ce parti de masse.
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