Libreville-19 Janvier 2019-G9INFOS- Le syndicat des professionnels de la communication (SYPROCOM) a appelé instamment le nouveau premier ministre, chef du gouvernement Julien NKOGHE BEKALE, et l’ensemble des ministres à s’approprier le dossier relatif à la prise en charge de leurs collègues victimes des violences physiques, et des cas d’agressions ayant engendré des graves traumatismes, lié au coup d’état avorté de Kelly Ondo Obiang la nuit du 7 Janvier dernier. A annoncer LE SYPROCOM, au complexe Georges Rawiri à Libreville.
« Nous rendons un vibrant hommage, et saluons le courage dont ils ont faits montre ». LE SYPROCOM, à l’endroit de leurs collègues. Avant de s’indigner sur l’immobilisme du gouvernement, face à la récurrence du phénomène de violence et l’attaque sur les installations et le personnel du service public, de la Radio et de la télévision du complexe Georges Rawiri.
LE SYPROCOM, force d’action et de proposition s’est aussi saisit de la présente tribune pour faire observer que 9 ans après son lancement, la réforme du secteur audiovisuel public n’a jusqu’à présent apporter aucune valeur ajoutée dans l’organisation, le fonctionnement, les pratiques professionnels, bref, les avantages matériels et financiers attendus par l’ensemble du personnel qu’à l’opposé.
Le regroupement syndicale a ensuite indiqué, que ces avantages n’ont profité jusqu’à lors, qu’à une poignée dont les cadres dirigeants de Radio Gabon et Télévision, et leurs supplétifs, dont la liste ne fait que s’étoffée, et dont le niveau d’enrichissement contraste avec l’extrême pauvreté de l’ensemble des personnels en service à la maison Georges Rawiri, pour le déplorer.
Auteur-J. MOUROUMOUNA
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