La maison Société UOB: L’INSÉCURITÉ MONTE D’UN CRAN

UOB: L’INSÉCURITÉ MONTE D’UN CRAN

UOB: L’INSÉCURITÉ MONTE D’UN CRAN

Décidément le temple du savoir est devenu le lieu manifeste d’une insécurité notoire, lorsque ce n’est pas les violences qui émanent des mouvements de grèves qui opposent étudiants et forces de l’ordre, ce sont des braquages d’une incroyable particularité. Ces braquages sont orchestrés, de jour comme de nuit, par des malfrats qui se font passer pour des agents de force de l’ordre.

En effet, le dimanche 30 juin, nos pseudos agents de police judiciaire, muni de leurs fausses cartes professionnelles vont comme à leurs habitudes procéder à des fouilles corporelles, prétextant vérifier si les étudiants ne sont pas en possession de produits prohibés ou d’armes en tout genre. En procédant à la fouille, ils en profitent pour dérober des biens matériels appartenant aux étudiants.

N’étant pas à leur premier forfait, leur mode opératoire est desormais connu de tous en raison des multiples plaintes des étudiants. Comme le dit le dicton populaire: « 99 jours pour le voleur, 1 seul pour le propriétaire »; le jour fatidique étant arrivé, voulant poursuivre leurs basses besognes , nos pseudos agents se sont fait prendre dans une sorte de vendetta populaire par les étudiants qui ont décidé d’appliquer la loi du Talion « oeil pour oeil, dent pour dent » . Jusqu’à ce que leurs collègues ou de vrais agents de police judiciaire arrivent sur les lieux. Un meli-mélo de mauvais goût qui fait que l’on ne sait plus qui est qui dans cette histoire.

Pernnel EKA

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