La maison Economie Le PDG de LA GABONAISE D’ENERGIES encourage les apprenants à s’appliquer dans les métiers de l’enseignement technique et professionnel.

Le PDG de LA GABONAISE D’ENERGIES encourage les apprenants à s’appliquer dans les métiers de l’enseignement technique et professionnel.

Le PDG de LA GABONAISE D’ENERGIES encourage les apprenants à s’appliquer dans les métiers de l’enseignement technique et professionnel.

Le Président Directeur Général de La Gabonaise d’Energies (L _ G _ E), Parfait Duffy Bibang a encouragé les élèves des lycées techniques et les étudiants des grandes écoles d’enseignement technique et professionnel à s’appliquer dans les métiers de l’enseignement technique et professionnel, c’était au cours d’un entretien qu’il nous a accordé samedi à Libreville. La Gabonaise d’Énergies est une grande entreprise spécialisée dans la fabrication, la réparation et la maintenance des transformateurs électriques de haut niveau.

Le Président Directeur Général est revenu sur les assises du 1er salon des métiers de l’enseignement technique et professionnel, organisé du 10 au 11 mars dernier à Libreville par le Ministère de l’Éducation Nationale. Cette rencontre a permis au Président Directeur Général de La Gabonaise d’Énergies (L _ G _ E) et d’autres Chefs d’entreprises d’échanger avec les dirigeants du Ministère de l’Éducation Nationale, les élèves des lycées techniques et les étudiants des grandes écoles d’enseignement technique et professionnel sur la question d’employabilité des jeunes, des curricula en rapport avec les besoins réels des entreprises.

Selon lui, les parents doivent se préoccuper de l’avenir de leurs enfants, en les indiquant quelques idées des métiers qu’eux-mêmes ont coutoyé pour que l’enfant ait l’envie de faire un travail.

 » Je suis Ingénieur en production transport d’énergies, je parle donc de l’énergie constamment à la maison et aujourd’hui mes enfants sont pratiquement dans les mêmes filières, la preuve en est que plusieurs d’entre eux travaillent aujourd’hui dans mon entreprise, «  a t- il déclaré.

Aussi, a-t-il constaté, dans le cadre du lycée technique, c’est à partir de la classe de 1ʳᵉ qu’on parle des stages alors qu’on est déjà en retard, parce que nous sommes à deux doigts du Baccalauréat, on est sensé d’avoir des stages plus tôt et parler de l’emploi.

En ce qui concerne l’affaire de 5 ans d’expérience professionnelle, le Président Directeur Général Parfait Duffy Bibang a tenu à préciser qu’il y a une confusion à ce sujet. Ce sont des entreprises qui mettent 5 ans d’expérience professionnelle en faisant souvent des demandes de recrutement. Lorsqu’on parle de 5 ans d’expérience professionnelle, cela fait partie du parcours de formation en gros, parce qu’on estime qu’à partir de la 4e et 3e, l’élève commence à aller dans les entreprises et lorsqu’il arrive en TL, il a déjà plusieurs années d’expérience avant d’affronter le Baccalauréat. Donc lorsque l’élève est en TL, il est en fin de cycle et il a déjà en moyenne 5 ans d’expérience.

 » Dans le cadre de la formation professionnelle, l’État vient de mettre en place des super Centres de formation professionnelle. Nous déplorons tout simplement que des professionnels que nous sommes, nous ne participons pas aux différents Conseils d’Administrations et à la réflexion des Curricula de ces formations-là, alors que c’est nous qui devons employer ce personnel par la suite. L’État se doit de nous solliciter au début, au milieu et à la fin pour que nous puissions résorber définitivement le problème du chômage des jeunes, «  a-t-il insisté.

Pour Parfait Duffy Bibang, il n’a jamais pratiquement cru au chômage proprement dit, parce qu’il croit à la bonne formation, il est difficile pour quelqu’un qui a été bien formé de se retrouver réellement au chômage.

 » Aujourd’hui, je suis à l’industrie, nous même avons quelques soucis, si nous ne recevons pas pleinement le soutien de l’État, il n’est pas facile pour nous d’assumer quelques responsabilités ou les charges que nous ne pouvons pas nous acquitter à la fin du mois. Si demain ou après-demain, j’ai des contrats signés qui me permettent d’atteindre un certain nombre des objectifs, je pourrais employer au moins 200 jeunes. C’est vraiment un contrat gagnant que nous sollicitons auprès de l’État, «  a-t-il martelé.

Il faut noter que La Gabonaise d’Énergies, spécialisée dans la fabrication, la réparation et la maintenance des transformateurs électriques de haut niveau, forme aussi les gens qui n’ont pas des métiers et ce sont eux qui font la fierté de l’entreprise après leur formation. Ils deviennent des véritables références dans la Société.

Jean Claude Boundzanga

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