La maison Politique [Reportage] Bitam : Jules MBELE ASSEKO mène une tyrannie à l’hôtel de ville ?

[Reportage] Bitam : Jules MBELE ASSEKO mène une tyrannie à l’hôtel de ville ?

[Reportage] Bitam : Jules MBELE ASSEKO  mène une tyrannie à l’hôtel de ville ?

L’hôtel de ville de la commune de Bitam est aujourd’hui en proie à une crise interne sans précédent. Cette institution dirigée depuis 2018 par Jules MBELE ASSEKO fait l’objet de nombreuses critiques qui seraient consécutives à une gestion opaque de l’hotel de ville par l’homme d’affaires.

Pourtant, très largement dominé par le parti démocratique gabonais,ce conseil municipal voit aujourd’hui le spectre d’une implosion planer sérieusement sur lui et les récemments événements sont loin de remaner la cohésion tant souhaitée par les populations à moins de deux ans de la fin du mandat de l’équipe dirigeante actuelle.

Bitam,les conversations sont animées principalement les récents licenciements jugés abusifs enregistrés à l’hôtel de ville de Bitam. En effet, certains agents ont été mis à la porte sans motif valable selon eux par le Président du conseil municipal,Jules MBELE ASSEKO.

L’information partie comme une traînée de poudre et relayée depuis le 27 janvier 2022 sur les ondes de la radio locale (Radio Trois Frontières). Obame Nkizo’o et Ntoughou Eboz’o Moïse,ces deux agents ont été virés des effectifs de la mairie de Bitam.“ J’ai été licencié sans au préalable une demande d’explication,ni une mise à pied. Il m’est reproché d’avoir détruit le matériel de travail,ce que je ne reconnais pas. Et face à ce licenciement abusif, j’ai décidé de quitter le parti démocratique gabonais (PDG) »,a indiqué Ebozo’o via un communiqué diffusé sur une radio locale.

Aujourd’hui, dans une incompréhension totale,ces derniers ont du mal à cerner les raisons véritables de ces licenciements.“ Je suis père de famille avec plusieurs enfants et locataire, j’ai été licencié sans motif »,a ajouté un autre.

Ces démissions jugées peut-être comme une saignée mineure sont toutefois symbole d’un malaise profond. Pour l’heure,il est très difficile de cerner les raisons qui ont motivé le Maire central à procéder à  ces licenciements très critiqués et qui viennent bouleverser la quiétude financière des principaux concernés.

BIYOGO Tanguy, correspondant Woleu-Ntem.

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