La majorité des retraités enrôlés bon gré mal gré dans le mouvement syndical des travailleurs gabonais volume 1 ( MSTGV1) ne comprennent plus rien de son fonctionnement. Que se passe-t-il ? Pas de langage clair ; pas de respect pour la base ; une ruse bien ourdie pour aveugler et engluer le maximum de retraités.
Un discours incohérent vis-à-vis des gouvernants. Pas de stratégies sages pour convaincre. Une grosse boulimie pour l’évocation d’un passé non reluisant. Une rétention manifeste de l’information. Une grave privation de liberté de parole et un refus catégorique de dialogue contradictoire…
Autant de lézards qui menacent l’étanchéité de l’édifice MSTGV1.
En effet, à l’intérieur de ce mouvement syndical, nombreux sont les travailleurs retraités qui dénoncent les dérives du bureau directeur ténu par Monsieur Pierre MINTSA pour n’en citer que celui-là.
Ce dernier, aux dires des membres de ce syndicat, tient des propos qui peuvent ternir l’image de ce mouvement syndical auprès des autorités, car ceux sont les autorités de la République qui sont à même de résoudre tous les problèmes évoqués par ces anciens travailleurs de l’État. Mais comment atteindre Dieu le Père sans passer par son fils Jésus-Christ ?
En d’autres termes, comment atteindre le Chef de l’État qui est le Chef du gouvernement et le seul capable de donner instructions au gouvernement afin que ce dernier résolve le problème des retraités en insultant d’une manière frontale ce même gouvernement ? Beaucoup des membres de ce syndicat se posent la question.
La fissure entre celles et ceux qui sont pour le dialogue constructif et celles et ceux qui sont pour le désordre récréatif est donc actée à entendre dire certains de nos compatriotes appartement à ce syndicat que nous avons interviewé.
Il faut également noter, qu’à l’approche d’une année électorale qui va occuper considérablement les instances décisionnelles de notre pays, le mot ou les messages dénonciateurs sont de ce fait à véhiculer avec beaucoup de tact si celles et ceux qui revendiquent veulent améliorer l’état de leurs revendications. C’est en cette dernière phrase que beaucoup de celles et ceux que nous avons pu rencontrer dans le cadre de notre investigation sur l’état climatique de ce mouvement syndical ont pu nous le dire.
Gervais ALLOGO ONDO
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