La question mérite d’être posée. L’Inspecteur général municipal ( IGM ), Armand Tchitembo Dagraça, est la cible de personnes malintentionnées. Les faits sont édifiants au regard du nombre de posts acides de l’activiste du web Thibaut Adjatys, qui circulent depuis quelques temps sur la toile.
Pourquoi un tel acharnement à ternir l’image d’Armand Tchitembo Dagraça ? À qui profite cette campagne de dénigrement ? Dans quel but ? Autant de questionnement qui fourmille dans le microcosme politique gabonais, singulièrement en cette période trouble, marquée par la pandémie de covid-19 où le Gabon a le plus besoin de la cohésion pour y faire face.
Des sources bien informées n’hésitent pas de dénoncer un plan méphistophélique, visant à mettre en confinement, c’est l’expression en vogue, l’Inspecteur général municipal. Ceux qui le connaissent bien ou qui le côtoient quotidiennement dénoncent une machination qui viserait à ternir l’image d’Armand Tchitembo Dagraça qui jusque-là exécute ses missions avec brio.
L’Inspecteur général municipal est certainement la personnalité la plus combattue depuis la prise de service de l’équipe municipale dirigée par Leandre Nzue. Pourquoi s’en prendre à une personne qui a accepté de servir l’État avec dévouement pour accompagner le Président de la République ?
À Mandji, ce monsieur, a formé des habitants des villages environnants des sites pétroliers, des opérateurs de production dans tous les domaines, il a fait construire des dispensaires, des écoles, des cases d’écoutes, des forages d’eau potable pour les populations, tous les villages ont été dotés de groupes électrogènes, financé la formation des infirmières et infirmiers, des institutrices et instituteurs pour lesdits dispensaires et écoles. Arnaud Tchitembo Dagraça a également pris en charge les hospitalisations et le transport des villageois vers les unités sanitaires.
Jusque-là, l’Inspecteur n’a jamais répondu, jamais contre attaqué. Il préfère faire son travail sans beaucoup de bruit pour aider le Maire Léandre Nzue à mettre en œuvre la politique voulue par le Chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, à savoir, lutter contre l’insalubrité, l’occupation anarchique des trottoirs, les garages anarchiques d’automobiles, l’embellissement de l’environnement des librevillois. Mais jusqu’où iront ses détracteurs ? » Le propre d’une guerre est qu’on sait comment elle commence mais jamais comment elle se termine. »
Pierre Parfait Mbadinga
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