Selon des informations anonymes distillées ici et là sur les réseaux sociaux, l’Autorité de régulation des communications électroniques (ARCEP) ne serait pas un fleuve tranquille, s’agissant de sa gestion par ses dirigeants actuels.
A lire les affirmations qui sous-tendent ce qui n’est pour l’instant que rumeurs pour notre rédaction, cette structure, fruit de la fusion entre la défunte Agence de Régulation des Télécommunications (ARTEL) et l’ancienne agence de régulation des postes, connaîtrait un climat délétère aux causes à la fois lointaines et actuelles.
Parmi les causes lointaines, il est fait mention d’un plan social qui n’aurait pas été mené de manière adéquate, au moment de la fusion qui engendra cette entité essentielle dans l’environnement gabonais du numérique et des télécommunications.
Au delà de ce processus qui aurait dit-on et notamment occasionné la mise au chomage de 200 personnes à l’époque, avec une série de prétendues anomalies pointées du doigt par ces « tracts » accusateurs, il est également évoqué de supposés détournements de fonds générés par le service universel et le trafic à l’international. Vertement indexé par ce qu’il convient pour nous de qualifier de simples « on dit » pour l’instant, Lin Mombo y est présenté comme la source de tous les maux dans cet organisme qu’il dirige depuis de nombreuses années déjà, y compris de supposées inégalités de traitement salarial, ainsi que de prétendues injustices dans la politique de promotion verticale interne et sur le plan de la protection sociale des agents.
Attaques gratuites dans le but de nuire à cette personnalité de premier plan à la renommée jusqu’ici sans tache ? Fumée révélatrice d’un feu couvant sous les cendres d’une sérénité qui ne serait en définitive qu’apparente? L’avenir et des investigations plus approfondies au sein de cette entité, y compris auprès des responsables concernés, nous en diront certainement davantage.
Laisser une Réponse