A quelques semaines des élections générales prévues le 26 août au Gabon, le parti démocratique gabonais (PDG) fait face à de sérieuses accusations de manœuvres antidémocratiques, ce qui ébranle sa réputation de super parti politique invincible.
Dans le département des plateaux, province du Haut-Ogooué, des voix s’élèvent contre le PDG, l’accusant d’avoir utilisé des tactiques peu scrupuleuses. Un premier incident a opposé le PDG au CLR (Cercle des Libereaux Reformateurs) concernant la présence d’un militant de ce dernier sur la liste électorale du PDG. Cette affaire, impliquant Akilamabi Dominique, a semé la discorde dans la région.
Plus récemment, le PDG a été pris en flagrant délit de tentatives de déstabilisation et de corruption en vue d’affaiblir ses adversaires politiques. Les candidats colistiers du CLR et du groupe des indépendants ont été ciblés par des offres financières douteuses, allant de 50 000 à 200 000 francs CFA.
Une situation embarrassante pour le PDG, car certains de ses statutaires des plateaux ont été surpris dans une discothèque à minuit, où ils auraient orchestré des opérations de corruption auprès des conseillers figurants sur des listes concurrentes.
Mais les manœuvres ne se sont pas arrêtées là. Une tentative de corruption supplémentaire a été révélée par une conversation téléphonique interceptée. Un secrétaire fédéral du département des plateaux aurait planifié la corruption de colistiers indépendants et du CLR dans l’espoir de rendre leurs listes invalides.
Ces révélations font grand bruit et pourraient nuire à la réputation du PDG dans plusieurs localités du pays, affectant potentiellement ses chances lors des prochaines élections.
Alors que la date du scrutin approche, les Gabonais se questionnent sur l’impact de ces basses manœuvres sur l’intégrité du processus électoral et sur l’avenir politique du PDG. Les électeurs seront-ils prêts à accorder leur confiance à un parti aux pratiques controversées ? Seul le jour du vote nous révélera les réponses à ces interrogations.
Dans le contexte des élections législatives et locales prévues pour le 26 août prochain au Gabon, le parti démocratique gabonais (PDG) est confronté à des présomptions de basses manœuvres, ce qui pourrait mettre en péril sa position de super parti politique invincible, du moins si l’on croit les reproches qui lui sont rendus depuis la publication des listes des candidats par le CGE.
À Léconi, dans le département des plateaux, province du Haut-Ogooué, le PDG fait face à plusieurs griefs qui le désigneraient comme l’auteur d’une série de manœuvres antidémocratiques.
Parmi ces accusations, une affaire opposant le PDG à Jean Boniface ASSELE du CLR (Cercle libéral pour la République) concernant un militant, Akilamabi Dominique, inscrit sur la liste du CLR pour le premier siège du département des plateaux. Cette situation laisse supposer que le PDG aurait prétendu déstabiliser ses adversaires en utilisant des pratiques peu éthiques, telles que la corruption et l’achat de consciences auprès des candidats colistiers du CLR et des indépendants. On pourrait se demander si ces agissements visaient à faire invalider les listes adverses, dans l’espoir de monopoliser les conseils municipaux et départementaux dans cette région du Gabon.
Un autre incident embarrassant pour le PDG aurait impliqué des membres statutaires du parti des plateaux, surprise tard dans la nuit, dans une discothèque à Leconi. Cette situation suggère que ces membres auraient établi un centre d’opérations pour exercer des pressions et corrompre les conseillers inscrits sur les listes concurrentes, recevant des sommes d’argent allant de 50 000 à 200 000 francs CFA.
Une autre tentative de corruption aurait été mise en échec grâce à une interception d’une conversation téléphonique. Selon cette conversation, un secrétaire fédéral du département des plateaux aurait projeté de corrompre des colistiers indépendants et du CLR, vraisemblablement dans le mais de compromettre la validité de leurs listes électorales.
Ces révélations, si elles étaient avérées, pourraient entacher la réputation du PDG et semer le doute quant à sa position dans diverses localités du pays en vue des prochaines élections.
Cependant, il convient de souligner que ces informations se révèlent sur des allégations et que seul le déroulement des informations pourra confirmer ou infirmer ces soupçons. Il appartient aux électeurs gabonais de faire preuve de discernement lorsqu’ils se rendront aux urnes pour choisir leurs représentants politiques
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